L’intérêt marquant des consommateurs pour les objets promotionnels se confirme. Une étude menée par la 2FPCO révèle la réceptivité exceptionnelle des Français envers ces objets. Est-ce que ces articles, au-delà de renforcer la notoriété d’une entreprise, améliorent-ils réellement les relations clients / entreprise ? Cette question a motivéla 2FPCO à mandater CSA Research pour une enquête […]
22 mai 2018
L’intérêt marquant des consommateurs pour les objets promotionnels se confirme. Une étude menée par la 2FPCO révèle la réceptivité exceptionnelle des Français envers ces objets. Est-ce que ces articles, au-delà de renforcer la notoriété d’une entreprise, améliorent-ils réellement les relations clients / entreprise ?
Cette question a motivéla 2FPCO à mandater CSA Research pour une enquête sur la perception des objets publicitaires par les Français en juin 2017. Voici les chiffres révélateurs de l’étude :
| Image | Agrément | Fidélité | Mémorisation |
|---|---|---|---|
| 89% | 77% | 85% | 75% |
| ont une opinion positive des objets publicitaires reçus | souhaitent recevoir davantage d’objets publicitaires | conservent les objets publicitaires reçus | de reconnaissance de la marque |
Ces statistiques soulignent l’efficacité des objets médias dans un paysage médiatique dominé par les plateformes de streaming et les bloqueurs de publicités. Ils représentent un canal unique d’attention et de fidélisation.
C’est donc avec plaisir mais sans surprise que l’on découvre qu’en termes d’agrément, 77% des personnes aimeraient recevoir d’autres objets publicitaires et qu’en termes de fidélité, 85% des personnes choisissent de conserver les objets reçus.
Un objectif clé de toute campagne marketing est la mémorisation de la marque. Les objets promotionnels brillent dans ce domaine, avec 75% des sondés se rappelant toujours ou souvent de la marque associée, un taux rivalisant avec le cinéma.
La qualité des objets promotionnels est cruciale. Selon l’enquête :
Une bonne qualité encourage l’achat, tandis qu’une qualité médiocre peut nuire à l’image de la marque.
Face à ces résultats, la perception des objets média semble univoque. Cependant, la question se pose : la qualité prime-t-elle toujours sur la quantité dans le contexte actuel de surconsommation ? Est-ce que l’éthique et la durabilité devraient également être des critères de choix ? Pour moi cela ne fait aucun doute dans la théorie. Qui ne souhaite pas une économie plus juste, des produits locaux et responsable. En pratique, une multitude de possibilités s’offrent aux annonceurs.
Mais seront-ils prêts à ouvrir le portefeuille ? Vont-ils communiquer sur ces fondamentaux de manière efficace afin d’augmenter leur notoriété et image de marque. Ça, c’est une autre question !
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